10 grosses gaffes ou faux-pas commis par un Président de la République

6/ George Bush incapable d’ouvrir une porte alors qu’il est en direct

En 2005, le président Bush s’est révélé bien embarrassé lorsqu’il est resté coincé devant une porte à l’occasion d’une visite d’état en Chine. Voulant fuir une journaliste qui le harcelait de questions, Bush a rapidement mis fin à la session, se dirigeant vers la porte qui a refusé de s’ouvrir, luttant un certain temps en vain. On comprend l’embarras de cette situation au ridicule avéré.

7/ Emmanuel Macron qui ne comprend pas son texte

Et ne s’en cache pas. Au moins, il a le mérite de l’honnêteté.

8/ Obama qui n’arrive pas à mettre le ballon de basket dans le panier, même quand il se rapproche juste en dessous

Il aura fallu plus de trois essais au Président Barack Obama pour réussir son tir. Frustrant.

9/ Richard Nixon qui a fait passer clandestinement de la drogue sans le savoir

En 1958, Richard Nixon était vice-président quand il a fait passer clandestinement de la drogue à l’aéroport de New York sans (prétendre ?) le savoir. Celui-ci rencontre le jazzman Louis Armstrong qui attendait à la douane avec, à l’intérieur de sa valise, 1,4 kg de marijuana. S’approchant du musicien, Nixon porte sa valise et déclare : « Les ambassadeurs ne passent pas par les douanes, le vice-président des États-Unis se fera un plaisir de porter vos bagages ! », avant que les deux hommes ne franchissent la douane.

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10/ George Bush qui traite le Premier ministre espagnol « d’oie » sans le vouloir et le désigne comme « président »

En 2001, dans une interview réalisée par une chaîne de télévision espagnole, le président américain prononce le nom du Premier ministre de l’époque José Maria Aznar « Anzar« , même prononciation que le mot espagnol « ansar« , qui signifie « oie ». Mais c’était loin d’être la seule gaffe commise : le président Bush poursuit sur sa lancée en désignant par erreur le Premier ministre comme « président ». Pour couronner le tout, voulant démontrer ses prouesses linguistiques en espagnol, il traite la conseillère à la sécurité Condoleezza Rice d' »arroz » (arroz étant le mot espagnol pour « riz »)…

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