10 criminels qui ont échappé à la justice

7. Le génocide bolivien

En 2003, le président de l’époque, Gonzalez Sánchez de Lozada, équipe ses troupes de mitrailleuses et les envoie pour tuer des protestants pacifiques. Ils ont tué 67 hommes, femmes et enfants et ont blessé 400 autres. Cependant, avant d’être mis face à la justice, les États-Unis lui ont garanti l’asile politique.

Alors qu’en 2007, il est accusé de génocide par la haute Cour de Bolivie. Mais les États-Unis refusent de l’extrader malgré des preuves selon lesquelles il avait prévu de tuer 2500 autres personnes pendant les défilés pacifistes.

6. L’ambassadeur birman

En 1979, un ambassadeur birman au Sri Lanka découvre que sa femme a une liaison avec un musicien local. Il décide alors de se rendre chez lui avec un pistolet et tue sa femme. Il construit un bûcher devant sa maison sur lequel il brûle le corps de la victime sous les yeux des passants et des autorités.

Sa maison était considérée comme propriété de la Birmanie, les policiers n’ont pas pu l’arrêter et il a échappé à la justice. Des rumeurs déclarent qu’il aurait été extradé très discrètement par son pays.

5. Le squelette médical

Une Américaine a pu échapper à son crime jusqu’à sa mort, car le cadavre de sa victime n’a jamais été retrouvé. Elle avait tué son mari avec une statuette en grenouille, l’empreinte est d’ailleurs visible sur le crâne de la victime. Il avait disparu depuis plus de 18 ans et le cadavre se trouvait chez elle qu’après sa mort. En réalité, elle disait à ses amis que ce corps était un squelette médical.

4. Le dictateur indonésien

En 1965, le dictateur indonésien général Suharto décide d’exterminer la menace communiste. Pendant 3 ans, il mène des actions qui ont fait jusqu’à 500 000 victimes. La décapitation était monnaie courante et une rivière était tellement pleine de corps que ça en a infecté les réserves d’eau.

Après son règne, il n’a jamais été traîné devant la justice et même accumulé jusqu’à 30 millions de dollars de fortune. Ses funérailles étaient payées par l’État et il reçut les honneurs.