Les 15 investitures présidentielles les plus bizarres de l’histoire des États-Unis

Le jour J !

Donald Trump est officiellement devenu le 45e président des États-Unis d’Amérique après avoir prêté serment lors de la 58e cérémonie d’investiture devant le Capitole situé à Washington D.C.. Au fil des années, cette prestation de serment si importante et sérieuse a vécu d’étranges moments. Découvrez 15 des investitures présidentielles les plus bizarres que les États-Unis ont pu observer.

1/ Un jet de lasso — Dwight Eisenhower

Eisenhower Presidential Library/National Archives

À l’époque de son investiture, la population américaine avait un très fort engouement pour les cowboys. Montie Montana, cowboy de cinéma, a alors été inclus à la cérémonie. Une fois après avoir traversé la parade sur son cheval, il a lancé son lasso et attrapé le nouveau président des États-Unis sous ses cordes.

2/ 135 mots — George Washington, 1789

Le tout premier président des États-Unis a donné le plus court discours d’investiture lors de son deuxième mandat. En 135 mots, George Washington a remercié le peuple américain et leur a rappelé du serment qu’il allait prononcer.

3/ Tout sauf traditionnel — Bill Clinton, 1993

Soph | Dreamstime.com

À la place de la traditionnelle parade militaire, Bill Clinton a choisi d’inclure un groupe de reggae ainsi qu’une marche à suivre avec des chaises longues (« lawn-chair drill team »). Les spectateurs ont également pu voir un imitateur d’Elvis Presley accompagné des membres originaux du groupe.

4/ Un bijou symbolique — Theodore Roosevelt, 1905

Library of Congress

Theodore Roosevelt s’est grandement inspiré d’Abraham Lincoln, à tel point que durant sa seconde investiture en 1902, Roosevelt a porté une bague contenant une boucle de cheveux de Lincoln. Cette bague lui a été donnée par le secrétaire d’État, John Hay, qui était le secrétaire personnel de Lincoln.

5/ Deux serments pour le prix d’un — Barack Obama, 2009

Alex Wong/Getty Images

La première investiture de Barack Obama a en fait eu lieu deux fois. Durant la prestation de serment, John Roberts, juge en chef de la cour suprême, s’est emmêlé les pinceaux et a conduit Obama à mélanger ses mots. Afin d’éviter tout doute, les deux hommes ont répété mot pour mot le serment le jour suivant.