Les 10 légendes urbaines les plus effrayantes

légendes urbaines effrayantes

Des légendes urbaines effrayantes, à raconter à la lumière d’une bougie le 31 octobre… Y croirez-vous ?

Beaucoup d’histoires effrayantes circulent sur internet de nos jours. Certaines plus crédibles que d’autres. Si vous êtes prêt à frissonner d’horreur, j’ai sélectionné pour vous les 10 histoires et légendes urbaines les plus flippantes ou effrayantes ! Attention aux cauchemars…

1/ La cartouche Zelda hantée

Il s’agit d’une histoire qui raconte qu’un étudiant aurait reçu cette cartouche de la part d’un vieil homme lors d’un vide grenier. Lorsqu’il a voulu tester le jeu il s’est rendu compte qu’une sauvegarde existait déjà au nom de « Ben ». En l’essayant il se rend vite compte que le jeu bug, que les musiques sont étranges, que les personnages font des mouvements qu’ils ne sont pas censés faire et qu’ils semblent essayer de le prévenir d’un danger.

Une statue qui n’était pas prévue du tout dans le jeu original apparaît et se met à le suivre partout. Il essaye de supprimer la sauvegarde mais elle réapparaît sur le jeu quelques jours plus tard.

Il a donc enregistré des images du bug du jeu et on peut facilement les retrouver sur internet. Des experts ayant étudié les images ont affirmé qu’elles n’avaient pas été truquées.

the_legend_of_zelda__majoras_mask_nintendo_64_by_darkgamer2011-d7cutx0

2/ La SCP Foundation

L’une des créatures les plus connues de cette fondation est la SCP-173. Il s’agit d’une statue faite de plâtre et de béton qui est enfermée dans une salle verrouillée. On entendrait gratter à la porte lorsque personne ne se trouve à l’intérieur. Pour entrer dans la salle, il faut au minimum 3 personnes, la porte est immédiatement refermée derrière eux et le contact visuel avec la créature ne doit jamais être perdu.

Il paraîtrait même que lorsque les scientifiques sont dans la salle ils doivent se prévenir avant de cligner des yeux. Si jamais le contact visuel était perdu, la statue les tuera en les étranglant ou en leur brisant le cou.

hqdefault

3/ La poupée Robert

logo

Cette poupée était la poupée d’un petit garçon, elle existe réellement depuis le début du 20ème siècle. Le petit garçon tenait tellement à sa poupée qu’il lui donna son propre prénom, Robert et il choisit alors de se faire appeler par son deuxième prénom, Eugène. Cela ne choqua personne, mais la poupée commença à attirer l’attention de la famille lorsqu’ils entendirent leur fils discuter avec la poupée et la faire répondre avec une voix si grave qu’ils pensaient entendre un adulte parler.

Une nuit, les parents entendirent un vacarme énorme venant de la chambre de leur fils. Quand ils entrèrent dans la chambre, tous les meubles et tous les objets étaient à terre, et leur fils, assis dans son lit pointait du doigt la poupée en disant « C’est pas moi, c’est Robert ». Au fil des années, Eugène garda toujours sa poupée et celle-ci continua à traumatiser les voisins qui racontèrent l’avoir vu bouger seule derrière les fenêtres de la maison.

4/ L’expérience scientifique

En 1983, une équipe de scientifiques a monté une expérience dans le but d’entrer en contact avec Dieu. Ils pensaient que nos sens bloquaient le contact possible avec l’au delà, ils décidèrent alors de retirer les 5 sens d’un cobaye en lui retirant toutes les connections nerveuse, afin qu’il ne puisse plus voir, goûter, sentir les odeurs, sentir la douleur ou entendre.

Au bout de 4 jours, l’homme qui parlait à haute voix en prononçant des phrases parfois incompréhensibles (puisqu’il ne s’entendait pas) commença à entendre de petites voix dans sa tête mais sans comprendre ce qu’elles disaient. Les scientifiques pensèrent à ce stade qu’il s’agissait d’un début de psychose. Le 6ème jour il déclara pouvoir entendre la voix de sa femme décédée. Les scientifiques furent convaincus de la véracité de ses propos lorsqu’il évoqua les noms de leurs proches disparus.

Après plusieurs semaines, l’homme devint agité, dérangé, il disait pouvoir entendre des centaines de voix. Il se mit à crier « Pas de Paradis ! Pas de pardon ! » et chercha à se donner la mort en s’arrachant plusieurs morceaux de peau. Les scientifiques pensèrent qu’il était proche de communiquer avec Dieu ils l’attachèrent donc à un lit. L’homme pleura pendant des semaines. Un jour un scientifique vint s’asseoir a coté de lui, le cobaye tourna la tête vers lui et dit « J’ai parlé à Dieu, et il nous a abandonné… »

5/ L’hypnologie

Cette histoire se déroule en Russie dans les années 40. Des chercheurs ont tenté de maintenir éveillés pendant 15 jours à l’aide de gaz stimulant 5 prisonniers politiques. Ils étaient enfermés dans une chambre, sans fenêtre, avec seulement des micros à l’intérieur pour les écouter. Durant les 5 premiers jours, les prisonniers se racontèrent leur passé, rien d’anormal n’était à signaler.

Puis, le 6ème jour, les premiers signes de folies apparurent. Un des prisonniers courrait dans la pièce en criant pendant que les autres parlaient aux micros en murmurant. À partir du 10ème jour, ce fut le silence total. En analysant la consommation d’oxygène dans a pièce, les chercheurs ont pu prouver que les sujets étaient toujours en vie et éveillés. Les micros fonctionnaient toujours, les scientifiques passèrent alors un message dans la pièce. « Nous allons ouvrir la chambre pour tester les microphones, restez loin de la porte ou vous serez abattus ! Si vous respectez cette règle, l’un de vous sera libre. » Mais contre toute attente une voix leur répondit « Nous ne voulons plus être libre… ».

À la fin de l’expérience, au bout de 15 jours, la pièce fut ouverte. Les chercheurs découvrirent une pièce tapissée de sang, de morceaux de chairs, et un des 5 sujets morts. Les autres se mirent à crier, suppliant pour qu’on remette du gaz stimulant. Les chercheurs et militaires finirent par les maîtriser, et le seul survivant fut attaché à une table. Lorsque les chercheurs lui demandèrent ce qu’il était devenu, il répondit « Nous sommes la folie qui est cachée en chacun de vous. Nous sommes ce que vous réduisez au silence quand vous vous endormez. Nous étions si près d’être libre ».