Les différences professionnelles varient de pays en pays. Rien de plus normal là-dedans, nos lois du travail ne sont pas les mêmes, que l’on vive en France, en Autriche ou en Amérique…
Nous n’avons pas tous la même manière de travailler ni les mêmes règles professionnelles. Quand les Américains usent et abusent des chiffres dont ils raffolent, les Allemandes coupent la cravate de leurs collègues masculins… Des différences professionnelles qui peuvent paraître bizarres aux yeux de ceux qui y sont étrangers, mais on ne peut plus normales dans le pays concerné.
1/ En Allemagne, on peut être menacé(e) de licenciement si on mange dans son bureau
La forte odeur des plats divers et variés et les bruits de mastication associés ne sont pas pour favoriser la concentration des employé(e)s. C’est en tout cas ce que pensent la plupart des entreprises allemandes, qui peuvent menacer leurs salarié(e)s de licenciement s’ils/elles ne se pliaient pas au règlement gastronomique… Mieux vaut s’éclipser pour avaler son jambon-beurre !
2/ En Chine, un lit pliable est disposé sous chaque poste de travail
À condition de bosser devant un PC, les employés chinois disposeraient d’un lit pliable sous leur bureau ou dans un endroit proche. Faire la sieste est une activité essentielle, même (et surtout) dans le cadre professionnel. D’ailleurs, les salariés auraient l’habitude de manger très rapidement pour garder du temps pour dormir. Pas bête, finalement.
3/ Au Japon, s’endormir sur son bureau est très bien vu
S’assoupir devant son ordinateur au Japon est un signe que vous avez travaillé d’arrache-pied ! En France, on aurait plutôt tendance à imaginer le paresseux dans un état de léthargie typique… Amusantes différences professionnelles.
4/ Chaque mois aux Pays-Bas, les salariés se retrouvent pour boire un coup dans un bar aux frais de leur entreprise
Pour les employeurs néerlandais, le repos et la détente sont des valeurs sacrées ! Ainsi, chaque mois, un afterwork est organisé aux frais de la boîte pour se retrouver entre collègues sur un ton plus léger. Certaines entreprises octroieraient même à leurs salariés une prime de vacances de deux semaines, via un programme informatique qui détecte le temps de travail accompli.
5/ Une fois par an, à l’occasion de la Journée de la Santé, les employeurs israéliens doivent offrir des massages à leurs salariés
Si en France, on ne connaît pas sa date (ni même son existence pour certains), en Israël en revanche, on ne rigole pas avec la Journée Mondiale de la Santé. Les chefs d’entreprise loueraient des spas et feraient bénéficier à leurs salariés de massages et autres soins prodigués par des professionnels. Une loi du travail qu’on aimerait faire appliquer dans l’Hexagone !