Stranger Things : 10 anecdotes qui vont étonner les fans

anecdotes Stranger Things
Crédits : Intégrations Pinterest de l'article (montage: LaListe)

La série évènement de Netflix revient pour une quatrième saison qui s’annonce terrifiante ! Les premiers épisodes, qui sont plus longs que les précédents, ont débarqué sur le site de streaming le 27 mai. Pour célébrer le retour des enfants d’Hawkins, on vous propose de découvrir 10 anecdotes sur Stranger Things 

1/ Le décor le moins cher du monde

1 dollar ! C’est la somme dépensée par la production de Stranger Things pour acquérir la grande caravane du chef de police Jim Hopper, ce qui en fait une des anecdotes les moins chères du monde. Ce montant fait encore plus dérisoire quand l’on sait que la réalisation d’un épisode de la série coûterait plus de 6 millions de dollars. De quoi combler Netflix… ainsi que le département chargé des décors ! Ces derniers ont d’ailleurs pris un malin plaisir à rendre le lieu encore plus miteux qu’il ne l’était à l’origine.

2/ Des refus en cascade

Matt et Ross Duffer, les créateurs de la série, ont plutôt eu du mal à vendre Stranger Things. Avant que Netflix ne s’intéresse finalement au projet, les deux frères ont en effet essuyé une douzaine de refus. Les maisons de production ont été réticentes à financer une histoire centrée sur des enfants, alors que la série ne se destine pas à une jeune audience. Elles ont conseillé aux Duffer de baser leur récit sur les enquêtes paranormales de l’inspecteur Hopper, un peu à l’image de la série X-Files. Vu l’énorme succès rencontré par Stranger Things, on imagine que les personnes derrière ces refus ont depuis changé d’avis (après s’en être mordu les doigts).

3/ Montauk, vous connaissez ?

Au début du projet, Stranger Things devait se dérouler à Montauk, une petite ville côtière située à l’est de Long Island dans l’État de New York. Lors de l’achat des droits par Netflix, la série s’appelait même Montauk. Pourquoi ? Les frères Duffer comptaient surfer sur une théorie du complot bien connue dans le pays. En effet, durant la Guerre froide, l’armée américaine aurait mené dans cette ville une série d’expérimentations visant à libérer les capacités psychiques d’enfants. Toutefois, les créateurs de la série ont par la suite décidé de déménager l’action dans la localité fictive de Hawkins. Néanmoins, l’histoire de Eleven (traduit Onze dans la version française) garde les traces des premières moutures du scénario.

4/ Une unique saison ?

La première saison de Stranger Things aurait pu être la seule. C’est en tout cas ce qui était planifié au début du projet. Les frères Duffer n’avaient effectivement pas prévu de donner une suite directe aux aventures des enfants de Hawkins. Ils voulaient en fait réaliser une anthologie, comme American Horror Story, où chaque saison présente une histoire à part entière. L’autre piste envisagée était de faire revenir Will et sa bande dans la fameuse ville fictive une fois devenus adultes, à l’instar du roman Ça de Stephen King.

5/ Une série sous influence

Matt et Ross Duffer n’ont jamais caché leurs sources d’inspiration. Parmi celles-ci, nous pouvons citer notamment les films de Steven Spielberg (surtout E.T., l’extraterrestreLes Dents de la mer et Rencontres du troisième type), ainsi que les longs-métrages et les compositions de John Carpenter. Et comment ne pas tisser des parallèles entre les enfants de Hawkins et la bande du film Les Goonies?

Mais une des plus grandes influences de la série est l’œuvre de Stephen King. Le nom Stranger Things est d’ailleurs inspiré par son livre Needful Things (Le Bazaar de l’épouvante en français). La fameuse typographie du titre du show de Netflix est tirée elle aussi d’un roman du maître de l’horreur : Firestarter (traduit par Charlie).