Créé en 1992 par Philippe Chappuis, alias Zep, Titeuf fait partie de l’enfance de nombreux d’entre nous. Que cela soit en bande dessinée ou en dessin animé, le gamin et sa bande de potes nous ont accompagnés dans la cour de récré. Mais connaissez-vous vraiment ce personnage culte jusqu’au bout de la mèche ? Découvrez dans cette liste 8 anecdotes pô piquées des hannetons autour de Titeuf, un facétieux enfant au combien attachant !
1/ La naissance de Titeuf
Titeuf naît par hasard sous le crayon de Zep quand l’artiste croque ses souvenirs d’enfance. Poussé par ses proches, il sort les premières aventures du blondinet dans le fanzine Sauve qui peut en 1992. Il est alors repéré par les Éditions Glénat qui lui propose de le publier. Il s’inspire aussi de sa jeunesse pour les péripéties de Titeuf et de ses amis.
2/ L’origine de son nom
Titeuf tient son nom… de son crâne d’œuf ! Zep voulait qu’il ait un surnom plutôt qu’un banal « Julien » ou « Adrien ». Une autre inspiration de l’auteur trouve ses origines dans son enfance, lorsqu’il appelait un de ses amis Titeuf à la place de Christophe.
3/ Un bébé prénommé Titeuf ?
En 2009, des parents de l’Oise ont eu l’idée d’appeler leur garçon comme le célèbre héros de bande dessinée. Du moins, ils ont essayé. Après une bataille judiciaire de plusieurs années, la Cour de cassation a en effet jugé en 2012 contraire à l’intérêt de l’enfant de le prénommer Titeuf. Il a ainsi dû garder ses autres prénoms : Gregory et Léo. Avant ce jugement final, la cour d’appel de Versailles avait déjà débouté en 2010 les parents. Pour l’instance justice, Titeuf est « un personnage caricatural, bien que plutôt sympathique, destiné à faire rire le public en raison de sa naïveté et des situations ridicules dans lesquelles il se retrouve ».
4/ La fameuse mèche blonde
La fameuse coupe de Titeuf est un élément caractéristique du garçon de 10 ans. Il lui donne une identité et il peut être reconnu tout de suite grâce à sa tignasse verticale. Pour Zep, c’est un moyen pratique pour faire transparaître les émotions de son personnage. Ainsi, quand le môme un brin espiègle est triste, sa mèche est en berne. L’auteur confie aussi détester dessiner les cheveux. Cette coupe est donc pour lui un bon moyen d’échapper à cette corvée !