7/ Les serres de tomates cultivées en Espagne équivaudraient à 55 000 terrains de football
La quasi totalitĂ© des serres espagnoles sont recouvertes de bĂąches en plastique sur 44 000 hectares, soit 55 000 terrains de football ! D’ailleurs, ces bĂąches doivent ĂȘtre remplacĂ©es rĂ©guliĂšrement, et trĂšs peu sont recyclĂ©es.
8/ Si les tomates ne sont pas chĂšres en supermarchĂ©, c’est parce que les travailleurs sont surexploitĂ©s
Evidemment, si les travailleurs sont sous-payĂ©s et non dĂ©clarĂ©s, il est plus facile d’appliquer des prix dĂ©fiant toute concurrence ! Vous savez ce que vous mangez, maintenant. Vous voulez continuer Ă cautionner ?
9/ Les bĂąches des serres qui s’envolent polluent les zones protĂ©gĂ©es
Parfois, les bĂąches en plastique nĂ©cessaires Ă protĂ©ger les serres de tomates s’envolent sur plusieurs dizaines de kilomĂštres, finissant par polluer des zones protĂ©gĂ©es et les parcs naturels.
10/ Une tomate d’hiver produit son propre poids en dĂ©chets
Les spĂ©cialistes affirment que la production annuelle de dĂ©chets issus des serres espagnoles Ă©quivaut Ă la quantitĂ© de fruits qui en sort. Une tomate produirait donc son propre poids en dĂ©chets pour ĂȘtre cultivĂ©e. Total : environ 3 millions de tonnes de dĂ©chets par an !
11/ La plupart des tomates d’hiver sont bombardĂ©es de pesticides
En Espagne, lĂ oĂč les tomates proviennent dans leur grande majoritĂ©, elles sont bombardĂ©es de plusieurs litres de pesticides. D’ailleurs, ce ne serait pas moins de 80 % de rĂ©sidus qui resteraient sur celles que vous avalez, dont 7 % au delĂ des limites maximales !
12/ Les pesticides aspergés sur les tomates constituent un énorme risque pour les travailleurs
Les pesticides administrĂ©s sur les champs de tomates reprĂ©sentent non seulement un risque pour notre santĂ©, mais encore plus pour celle des travailleurs qui les rĂ©coltent. Sans parler des sols…