10 anecdotes et faits insolites sur Bruce Willis

6/ Un prêtre très rock ‘n’ roll

Comment ne pas parler du mariage de Bruce Willis et de l’actrice Demi Moore ? La cérémonie s’est tenue à Las Vegas en 1987 et a été célébrée par Little Richard, une figure historique du rock ‘n’ roll. L’union et surtout le divorce des superstars ont d’ailleurs fait le bonheur de la presse people. Toutefois, depuis leur séparation en 1998, Bruce Willis et Demi Moore entretiennent de meilleures relations. Ils ont même été confinés ensemble au début de l’épidémie de Covid-19. Par ailleurs, l’acteur s’entendrait bien avec Ashton Kutcher, le nouveau mari de Demi Moore.

7/ Bruce Willis a son propre dessin animé

Bruno est l’alter ego de Bruce Willis depuis des années. La star a effectivement utilisé à de nombreuses reprises ce surnom qu’on lui aurait donné durant sa jeunesse. Son premier album s’appelle justement The Return of Bruno (1987), mais l’usage le plus étonnant de ce pseudonyme est pour son dessin animé Bruno the Kid. Diffusée à la fin des années 90 aux États-Unis, la série met en scène Bruno, un petit agent secret de 11 ans. Anecdote surprenante : Bruce Willis s’est occupé lui-même de composer le générique et a assuré le doublage de Bruno. Le casting vocal comprenait d’autres célébrités telles que Tim Curry ou Mark Hamill. Ce projet tenait à cœur à l’acteur, puisque Bruce Willis a aussi été producteur exécutif du dessin animé.

8/ Il doit un de ses plus grands rôles à une prise de tête sur un tournage

En 1997, Bruce Willis était devant les caméras d’un film sur le hockey pour le compte de Disney. Toutefois, rien ne s’est passé comme prévu. Sur le plateau de tournage, la superstar s’est en effet fâché avec l’équipe et a réussi à faire capoter le projet après trois semaines. Disney s’est montre mécontent et a menacé Bruce Willis de longues et coûteuses poursuites au tribunal. Un arrangement à l’amiable a néanmoins été trouvé : l‘acteur devait être à l’affiche de trois longs-métrages pour Disney avec un cachet nettement revu à la baisse. Il a ainsi tourné The Kid en 2000, Armageddon en 1998 et surtout Le Sixième sens en 1999. Il s’agit de l’une des anecdotes qui ont coûté le plus cher à Bruce Willis, mais elle lui donna finalement un de ses plus grands rôles.

9/ Il a offert un million de dollars pour la capture des ennemis des États-Unis

Républicain convaincu, Bruce Willis a soutenu l’armée américaine tout le long de sa carrière. Le patriote a même mis sa propre fortune au service de la guerre contre la terreur. Il a effectivement offert un million de dollars aux personnes livrant des ennemis des États-Unis, dont Ben Laden et le terrible dictateur Saddam Hussein. Cependant, il avoue avoir été trompé concernant l’invasion de l’Irak en 2003. Le conflit a en effet été déclenché grâce à de fausses preuves.

10/ Il a pistonné un acteur dans La Ligne verte

S’il y a un interprète qui doit beaucoup à Bruce Willis, c’est bien Michael Clarke Duncan. Ce dernier a été le garde du corps de la star. Un travail qu’il a aussi effectué pour d’autres grands noms comme Jamie Foxx, Notorious B.I.G. ou Will Smith. Ayant lu le scénario de La Ligne verte, Bruce Willis a pensé que Michael Clarke Duncan serait parfait pour jouer le rôle de John Caffey. L’acteur a d’ailleurs appelé lui-même le réalisateur en charge du projet, Frank Darabont, pour conseiller son ancien garde du corps. Michael Clarke Duncan a ainsi été retenu pour incarner le touchant prisonnier condamné à mort. Son interprétation a été très remarquée et a lancé définitivement sa carrière qui s’est hélas brutalement arrêtée en 2012 après son décès à l’âge de 54 ans.