Que cachent ces 13 stations de métro aux noms composés ? Seuls les vrais Parisiens le savent

7/ Station Chaussée d’Antin-La Fayette (lignes 7 et 9)

La Fayette, ce héros de la guerre d’Indépendance aurait-il apprécié que l’on mêle son patronyme à celui du quartier créé pour les nouveaux riches à la fin du 18e siècle ?

8/ Arrêt Strasbourg-Saint-Denis (lignes 4, 8 et 9)

Y’aurait-il un rapport entre la ville de Strasbourg et Saint-Denis, premier évêque de Lutèce ? On ne l’a toujours pas trouvé.

9/ Station Faidherbe-Chaligny (ligne 8)

Militaire et gouverneur du Sénégal au 19e siècle pour le premier, famille de fondeurs lorrains pour le deuxième, rien ne semble lier les deux figures emblématiques entre elles.

10/ Station Lamarck-Caulaincourt (ligne 12)

Deux personnes emblématiques ayant vécu au 18ème siècle, qui auraient peut-être pu se rencontrer si leurs domaines d’activité n’étaient pas inextricablement opposés : le peintre Jean-Baptiste Lamarck et le général Armand-Augustin-Louis de Caulaincourt…

11/ Station Barbès-Rochechouart (ligne 2 et 4)

Emblème du combat républicain contre la monarchie de Juillet, Armand Barbès fut député de l’Aude. Marguerite de Rochechouart quant à elle, dirigea l’Abbaye de Montmartre de 1717 à 1727.

12/ Station Richelieu-Drouot (ligne 8 et 9)

Le Cardinal de Richelieu n’aurait jamais rencontré, à notre connaissance, le général Antoine Drouot…

13/ Station la Motte-Picquet-Grenelle (ligne 6, 8 et 10)

La Motte-Picquet est un amiral du 18e siècle. Grenelle, quant à lui, est le nom d’un ancien village rattaché à Paris.

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