6/ Akira Kurosawa, un cinéaste japonais extrême
La technique du cinéaste japonais est très simple : choisir un souffre-douleur sur le plateau de tournage d’un film pour encourager toute l’équipe à faire de son mieux. Une autre de ses astuces cinématographique consistait à tirer sur ses comédiens avec de vraies flèches ou à brûler les décors après chaque scène. On peut se demander si la manière de diriger marche vraiment… Avec des réalisateurs de ce genre, mieux vaut rester à couvert sur les plateaux de tournage !
7/ David Fincher, un scénariste perfectionniste
David Fincher est un scénariste avant tout perfectionniste. Il n’hésitera pas à tourner de nombreuses scènes et à en supprimer autant si le résultat ne lui convient pas. Demandez donc à Jake Gyllenhaal ! Dans Zodiac, l’acteur a dû travailler pendant des heures sur une seule scène pour réussir à pleurer comme le réalisateur l’attendait. De même que Robert Downey Jr, qui devait uriner dans des pots directement sur le plateau pour ne pas perdre de temps…
8/ Stanley Kubrick, un des réalisateurs les plus emblématiques, mais aussi les plus difficiles
Vous souvenez-vous de la scène où Shelley Duvall menace Jack Nicholson dans Shining ? Et bien, sachez qu’il a fallu la tourner 127 fois ! Tout comme David Fincher, Stanley Kubrick est un réalisateur qui aime cumuler les scènes pour n’en garder qu’une qui jugera parfaite. Si le tournage de Shining ne devait durer que quatre mois, il aura fallu un an pour réaliser l’ensemble des scènes. De même, pour le film Eyes Wide Shut, l’actrice Sidney Pollack s’est levée d’une chaise et a ouvert une porte pendant 2 jours ! Stanley Kubrick n’est donc pas l’un des réalisateurs les plus méchants, mais de loin l’un l’un des plus difficiles sur les plateaux de tournages.